Pourquoi faites vous du V.H.R.S. et comment voyez vous cette discipline ?
«Perso, c’est le plaisir de faire rouler une ancienne un peu particulière dans des conditions sportives sans prendre trop de risque du fait que le terrain de jeu est sur route fermé. Cette discipline n’a, de plus, pas les contraintes du VHC concernant l’auto: pas de PTH, pas de remplacement de siège et de harnais tous les cinq ans et bien d’autres obligations coûteuses et contraignantes.
De plus, il y a régionalement une convivialité particulière et sympathique entre les concurrents concurrents dont le noyau reste toujours à peu près le même.»